Dans une dizaine de jours, les dés seront jetés,
Hillary prendra place en lieu et place de Barack Obama et plusieurs années plus
tard ,elle occupera le fauteuil de son
époux, dans le bureau ovale, là, ou Bill s’amusait avec Monica quelques années
plutôt, presque un jeu de chaise musicale, à moins que le Donald arrive à
rebattre les cartes grâce au FBI qui retrouve subitement des
« émails » qui n’ont jamais été perdu pour tout le monde.
Drôle d’histoire et drôle de scénario, juste quelques
jours avant que les habitants du « nouveau monde » vont élire leur
nouveau président(e) .
C’est sûr que Bernie Sanders était le candidat idéal,
c’est d’ailleurs pour cette seule raison qu’il fut écarté par les lobbyistes et
autres capitalistes notoires, jamais un homme qui se revendiquait
« socialiste » ne pouvait être le représentant du monde capitaliste
par excellence, il a fait ce qu’il a pu pour convaincre des millions
d’américains qui auraient , sans aucun doute, gagnés beaucoup à l’élire, mais
voilà, ce n’est pas aussi simple que ça, surtout au pays ou le fric est roi et
il en fallait pour faire face aux autres candidats, ceux qui restent en lice
sont les dignes représentants du monde de la finance.
Que l’on ne s’y trompe pas, la « Clinton »
sans les friqués de Wall Street n’avait pas plus de chance que les autres, mais
, pour son malheur(on verra plus tard) il y avait un certain Donald, un vilain
canard, mais plein de fric et une fois de plus, au pays des apaches, c’est les
dollars qui feront la différence, l’un ne vaut pas mieux que l’autre.
Et dans cette perspective, l’Europe et ses dirigeants
ne semblent pas préoccupés et pourtant, même si les deux individus sont
forcément différents, l’un comme l’autre, ne sont pas très rassurants sur leurs
programmes, savoir qu’ils peuvent à tout moment appuyer sur un « bouton
rouge » et ainsi provoquer l’apocalypse.
Pour ma part, je n’ai aucune confiance envers les
deux individus, si le « DSK » américain semble être moins
« guerrier » que la « cocue » de service, ils n’en restent
pas moins l’un et l’autre des personnages dangereux pour le reste du monde,
lorsque l’on sait que l’Amérique et ses dirigeants se considèrent toujours
comme les gendarmes du monde.
Supplément :
«La meilleure manière d’aider Israël à gérer la capacité nucléaire grandissante de l’Iran est d’aider le peuple syrien à renverser le régime de Bachar el-Assad», annonce d’emblée Hillary Clinton dans le document, révélé par l’ONG de Julian Assange, WikiLeaks, sur son site internet.
L’email fait partie de nombreux documents déclassifiés par le Département d’État américain, suite à la découverte du serveur email privé que Clinton utilisait chez elle alors qu’elle occupait, entre 2009 et 2013, le poste de secrétaire d’État de l’administration Obama.
Que
deviendraient les États-Unis si Donald Trump accédait à la Maison
Blanche? Les Pussy
Riot ont imaginé ce
qu'adviendrait l'Amérique après le 8 novembre. Le clip Make American Great Again (Rendre sa grandeur à l'Amérique), qui reprend le
slogan de campagne du magnat de l'immobilier, a été mis en ligne le jeudi 27
octobre sur leur chaîne Youtube.
À
base d'images d'archives, il est accompagné d'un sous-titre explicite: «Parce
que VOUS décidez des élections. Si nous agissons tous ensemble, nous pourrions
faire sauter cette m***e, agir et défendre les droits bafoués.»
Sulfureuse,
provocante, perturbante... La vidéo met en scène les activistes grimées en
Donald Trump et dépeint une Amérique qui humilie et viole les membres du
groupe, les marque au fer rouge quand elles sont trop grosses ou qu'elles
subissent un avortement, allant même jusqu'à mesurer la taille de leur poitrine
pour voir si elle répond aux critères minimums de taille imposés par Donald
Trump. Par la voix de leur plus charismatique représentante Nadejda Tolokonnikova, les Pussy Riot
s'en prennent aussi aux positions extrêmes de Donald Trump sur l'immigration.
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