Charlot 1er avait affirmé à la Chambre que la Belgique
n'avait "pas touché à une virgule" du texte de traité de
libre-échange entre l'Union européenne et le Canada (CETA).
"Le Premier ministre a dit la moitié de la
phrase", a répondu Paul Magnette, lors de l'émission Jeudi en Prime.
"Il ne dit pas qu'à côté du traité, on a négocié des textes de plusieurs
dizaines de pages qui apportent des amendements au traité ou des précisions.
Tout cela fait un paquet et il est écrit noir sur blanc que tout cela est
juridiquement contraignant", s'est-il défendu.
Selon Charles Michel, un "instrument
d'interprétation partagé" produira ses effets à l'issue de la concertation
proposée aux autres parties à la négociation.
Après plusieurs jours de discussions, les différentes
entités du pays sont parvenues, jeudi matin en comité de concertation, à un
accord sur une position commune à propos du traité CETA.
Voilà pour les déclarations de l’un et de l’autre, mais
en cherchant sur la « toile » et en s’informant auprès de plusieurs « experts »
ou tout simplement des citoyens qui se sentent concernés par ce fameux traité
« Je dirige avec mon frère
plusieurs entreprises en Wallonie, en tout : 120 salariés. Je ne vote ni
socialiste, ni PTB et pourtant, en tant que chef d’une PME wallonne, je suis
contre le Ceta tel qu’on tente de nous l’imposer.
Tout
d’abord, comme beaucoup de citoyens, je m’interroge sur la pertinence de la
déclaration interprétative du Traité. » Et encore ; « En tant que citoyen et entrepreneur, je refuse de payer pour
couvrir le risque d’un investisseur étranger (ou national), qui plus est
gratuitement. Est-ce que quelqu’un peut même imaginer qu’une entreprise comme
la mienne, qui a beaucoup investi ces 5 dernières années, intente un procès au
gouvernement belge s’il modifie la loi sur la fiscalité des intérêts notionnels
sous prétexte qu’une telle modification de la loi ferait perdre à mon
entreprise beaucoup d’argent ? Poser la question, c’est y répondre.
Pourtant, cet ICS constitue une pièce maîtresse du Ceta. »
Des centaines de manifestants ont défilé dans les rues de Madrid
en signe de protestation contre le traité de libre-échange transatlantique
(TTIP). « Nous sommes des personnes et non pas des marchandises », « Ces
documents, ce ne sont pas des accords, mais un coup d'État », ont-ils scandés.
A Varsovie, L'action de protestation a débuté le 15 octobre à 13
h (heure locale) près du bâtiment du ministère de l'Agriculture : ils ont
marchés directement vers le bureau du premier ministre. C'est « Action
Démocratie » qui a organisé cette manifestation, soutenue par plusieurs
syndicats et partis politiques.
Les manifestants sont sortis dans les rues de Varsovie en brandissant des drapeaux polonais et des affiches comportant les textes suivants : « TTIP et CETA sont des accords toxiques », « TTIP et CETA sont des attentats contre l'agriculture », « Arrêtez la dictature des entreprises » et bien d'autres.
Que
faut-il tirer comme conclusion, c’est simple, les citoyens européens sont
roulés dans la farine au grand et seul
bénéfice des multinationales qui dirigent le monde politique à travers la
planète entière pour le dieu CAPITAL..
Les manifestants sont sortis dans les rues de Varsovie en brandissant des drapeaux polonais et des affiches comportant les textes suivants : « TTIP et CETA sont des accords toxiques », « TTIP et CETA sont des attentats contre l'agriculture », « Arrêtez la dictature des entreprises » et bien d'autres.
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