La RTBF a
fait fort en proposant aux téléspectateurs que nous sommes, une toute nouvelle
émission avec un titre encore plus novateur « L’INTERVIEW » et cette
première interview était consacrée à notre très, très « chère »
premier ministre « Charles l’ami qui vous veut du bien »
.La
conception scénographique me rappelait une émission de nos voisins français qui
rassemble un public très nombreux (dans le studio), ici quelques citoyens de ci
de là et d’un autre côté les « têtes de gondole » du parti du
Premier, on notait quand même l’absence de Marie-Christine qui devait être
plongée dans les rapports qu’elle devra présenter aujourd’hui….Jacqueline au
premier rang affichait un sourire ravageur à faire pâlir ses contradicteurs,
mais revenons à la vedette du jour, le grand Charles, lui aussi affichait un
sourire jusqu’aux oreilles, normal, les deux compères lui offrait une tribune
sur un plateau, c’est bien le cas de le dire, bien sûr , il y eu l’intervention
de Bertrand Henne et l’autre de Francis van de Woestyne et puis basta. "Je me suis trompé, comme beaucoup de francophones au sujet de la N-VA."
"Aujourd'hui, j'ai confiance en Bart De Wever".. Comme quoi,
tout le monde peut se tromper,le parti de Bart ne serait pas nationalistes ?,le
parti de Bart ne souhaite pas la fin de la Belgique !!!.
Je ne peux pas ne pas reprendre les
propos de Zakia Khattabi interrogée
sur Matin Première, « il a réussi à être l'un des plus beaux ambassadeurs du surréalisme
belge, après Magritte et 'Ceci n'est pas une pipe'". Et de s'étonner que les journalistes n'aient pas davantage
souligner les
propos de Charles Michel par rapport au saut d'index notamment : "Il dit : 'Ce n'est pas une perte de rémunération, c'est une
moindre augmentation' (...). C'est un bel effet de manche, c'est une belle
phrase, mais du grand n'importe quoi surtout !".
Et
le commentaire pris sur « LE VIF » ; Avec une sérénité non feinte, Charles Michel a
transformé l'arène de la RTBF en salle de danse, mercredi soir. Il a longuement
démonté la caricature de ses réformes et coupé l'herbe sous le pied des
critiques relatives à la N-VA. Seul son pédalage au sujet de la réforme fiscale
a quelque peu malmené une solidité à toute épreuve.
J’ai souvent
écrit « Comment osent-ils » pour qualifier les propos mensongers de
ceux qui prétendent nous gouverner, je ne peux que réitérer ce commentaire
COMMENT OSENT-ILS ?????
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