Assise, bien calée sur le banc de bois peint et de couleur vert bouteille, elle est très légèrement penchée en avant, la tête où plutôt le menton touche la base du cou, un livre posé sur ses genoux serrés, les mollets gonflés par une position du bas des jambes relevées sur la pointe des pieds de façon à former un angle droit avec l’ensemble du corps pour que son bouquin soit bien à plat et lui offre ainsi une position de lecture confortable.
Très souvent, elle relève la tête et scrute de manière fébrile, nerveuse même, le fond du parc arboré de plantations déjà décharnées par les premiers frimas d’un automne finissant, au fond un portail reste obstinément fermé
Très souvent, elle relève la tête et scrute de manière fébrile, nerveuse même, le fond du parc arboré de plantations déjà décharnées par les premiers frimas d’un automne finissant, au fond un portail reste obstinément fermé
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