jeudi 24 mai 2012

Le G8, L’OTAN, LA GRECE


Le G8 et le sommet de l’OTAN ont successivement tenu leurs assisses, aux Etats-Unis, sous haute protection de la police qui n’a pas mis des gants…
Les 8 Etats les plus influents ont une fois de plus décidé pour le reste du monde.
Idem pour l’OTAN (Organisation Terroriste de l’Atlantique Nord ?) Il y a bien eu des divergences, mais la loi du plus fort a évidemment été respectée, à quelques détails près. François Hollande a tenu le même discours que pendant sa campagne électorale, il veut rapatrier la majeure partie des troupes françaises d’Afghanistan avant la fin de l’année …tout en restant engagé « d’une façon différente » dans l’opération de l’OTAN.
Il ne faut pourtant pas être grand clerc pour comprendre que le combat est perdu d’avance, comme les Etats-Unis au Vietnam naguère l’OTAN finira par quitter l’Afghanistan  « la queue entre les jambes », ce qui devrait d’ailleurs arriver à tous ceux qui se mêlent de ce qui ne les regarde pas !
Pendant ce temps, en Europe, la Grèce est toujours montrée du doigt, surtout par l’Allemagne qui joue au chef alors que ce pays ferait bien de ne pas oublier qu’il a été responsable de deux guerres mondiales, les plus meurtrières. Pour des intérêts financiers, comme toujours, les autres pays ont permis à l’Allemagne de redresser la tête avec arrogance. Après avoir détruit ce pays, les Etats-Unis lui ont apporté une aide gigantesque, ils en avaient besoin pour éviter un soi-disant « péril rouge » qui  surtout  ne leur aurait pas permis de vendre leur camelote en Europe ! Dès la victoire des alliés, ils ont d’ailleurs pris à leur service les meilleurs espions nazis pour les envoyer en URSS ou encore « adopté » Von Braun, l’homme à la base des V2 qui ont fait tant de morts et de dégâts, chez nous notamment. En Amérique il a développé les principaux missiles  balistiques de l’armée américaine et ensuite lors de  la course à l’espace il devint un des principaux responsables de la NASA.
Pour en revenir à la Grèce, les prochaines élections seront déterminantes quant à son avenir. Va-t-elle dire « non » à l’euro ? Cela pourrait servir d’exemple à d’autres Etats qui ne sont guère en meilleure position qu’elle. Bien sûr, les « petits » n’ont rien à dire, pourtant si l’on écoute les conversations chez nous comme dans d’autres pays, ceux qui « casquent » le plus rendent « l’euro » autant responsable que les  banksters  de l’austérité grandissante et probablement bientôt de la misère qui va s’abattre sur nous. Ce qui ne semble guère troublé Angela, ou plutôt Satanas…
Avec ou sans Nicolas le petit, Angela Satanas Merkel veut mener l’Europe à la teutonne.
Avec l’aimable autorisation de son auteur, mon ami et camarade Jean Honhon.


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Je suis toujours intéressé de savoir ce que les citoyens pensent de leurs dirigeants, qu'ils s'agissent des ministres ou de la Monarchie et bien entendu de la magistrature, bref , l'ensemble de la classe dirigeante de ce pays..