L'EUROPE DE JUNCKER ET SA CLIQUE

Qui peut franchement  justifier un « salaire » de 32.000 euros par mois, soit 384000 euros par an pour faire le clown chaque fois que ce charlot est photographié par les médias, l’ensemble des citoyens de la Communauté Européenne serait donc considérés comme des imbéciles qui gobent les conneries d’un vieil ivrogne comme paroles d’évangile ?!!.

Je sais, trop simple, l’homme a été « élu » « démocratiquement », il a été élu par ses pairs, les mêmes que lui , la totalité des « commissaires » sont des politiciens en bout de course dans leur pays respectifs et c’est pour ces opportunistes, le moyen de se la couler douce au frais des citoyens européens et de rafler le magot sous forme de pension « astronomique » . Voilà en résumé ce que je pense.

Mais l’ensemble de ces têtes de gondole qui font la pluie et le beau temps sont utiles à la communauté européenne, pas sûr du tout, même sûr qu’ils coutent beaucoup trop, ils ne produisent rien d’autre que des catastrophes et c’est peu dire. Y  a qu’à voir l’état de cette communauté au bord de l’implosion, 27 pays composent « l’Union » , la Grèce adhère en 1981 et depuis, elle « crève » doucement  mais surement et puis les autres qui sortent la langue depuis leurs adhésions et qui ne remplissent aucunes conditions pour être considérés valablement comme « participants » , non, le seul constat, le coût astronomique de cette communauté qui dérégule les pays adhérents..

Le référendum des britanniques pour quitter la communauté, ce fameux Brexit que Mme May n’arrive pas à faire avaler aux anglais, les pays de l’est comme la Roumanie, la Pologne et d’autres très pauvres en comparaison de l’Allemagne, le Luxembourg et même la Belgique, le dumping social règne en maître et contribue à faire baisser les salaires dans les pays occidentaux, alors qu’ils sont déjà beaucoup trop bas, la Hongrie d’Orban, l’Italie de Salvini qui penche dangereusement à l’extrême-droite.

Quel triste bilan, le 26 mai prochain, il faudra voter avec la volonté de changement, d’une politique qui place le citoyen au centre de cette Europe et pas les multinationales, ce qui suppose un virage à gauche indispensable à la survie de cette vieille Europe.