lundi 19 juin 2017

C'EST COMMENT QU'ON FREINE?


Comment on fait pour retourner en arrière et vivre dans un monde ou les plus démunis ne seront pas écartés comme ….trouvez la définition, comme les plus riches seront moins riches et seront écartés d’un monde qui n’est plus le leur.

J’ai vu le jour fin de la guerre , la seconde guerre mondiale (comme , ils disent) en 1945, j’ai donc (pardonnez-moi) une expérience de vie relativement longue , pour pouvoir fournir ma vision du monde dans lequel nous vivons aujourd’hui, il part en « couilles » et une fois de plus , pardonnez-moi l’expression, mais , et c’est là, ou je veux en venir, le monde de la finance , du fric est devenu insupportable, insupportable, le mot est faible, il est insupportable tout simplement, comment peut-on accepter que des mecs qui shootent dans un ballon puissent se prévaloir, se flatter de « gagner » des revenus tellement exorbitants qu’ils ne savent même plus ce qu’est la valeur de l’argent !!.


Dans notre société, nous acceptons que des sportifs de « hauts niveaux » (c’est quoi, le haut niveau ?) perçoivent des salaires qui sont largement au-dessus des « têtes de gondole » dans le monde des affaires, nous avons la tête à l’envers.

La valeur de l’argent, voilà bien, le nœud d’un problème lié essentiellement au système capitaliste.
Alors, dans la foulée, si, je peux m’exprimer ainsi, dans le monde politique, celles et ceux qui se retrouvent un jour « élus » par le peuple, ils bénéficient d’une autorité, d’une confiance pour exercer leurs mandats, servir les citoyens en percevant une rémunération pour services rendus, rien de plus naturel en soi et c’est là que le bât blesse.

Où est le problème ? Le problème, une fois de plus, c’est le système « capitaliste » et pourquoi ?
Il n’est pas question de dédouaner, celles et ceux qui ont profité du système, mais de savoir pourquoi, ce système les a déshumanisés au point de perdre leurs repaires de solidarités envers celles et ceux qui les avaient placés là où ils étaient. Ils ont perdu petit à petit les valeurs qui étaient les leurs.
Je vise d’abord les « socialistes » mais, les autres, tous les autres, qu’ils soient des « libéraux axés sur une idéologie qui ne tient plus la route et l’ensemble de la « classe politique », tous des « pourris », mais non, pas tous des pourris, j’ai envie de dire presque tous .
Ce qui se passe est le symptôme d’une crise beaucoup plus grave que de petites affaires éthiques. Il s’agit d’un mal-être de toutes les démocraties occidentales.



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Je suis toujours intéressé de savoir ce que les citoyens pensent de leurs dirigeants, qu'ils s'agissent des ministres ou de la Monarchie et bien entendu de la magistrature, bref , l'ensemble de la classe dirigeante de ce pays..