Comment on fait pour retourner en arrière et vivre dans un
monde ou les plus démunis ne seront pas écartés comme ….trouvez la définition,
comme les plus riches seront moins riches et seront écartés d’un monde qui
n’est plus le leur.
J’ai vu le jour fin de la guerre , la seconde guerre
mondiale (comme , ils disent) en 1945, j’ai donc (pardonnez-moi) une expérience
de vie relativement longue , pour pouvoir fournir ma vision du monde dans
lequel nous vivons aujourd’hui, il part en « couilles » et une fois
de plus , pardonnez-moi l’expression, mais , et c’est là, ou je veux en venir,
le monde de la finance , du fric est devenu insupportable, insupportable, le
mot est faible, il est insupportable tout simplement, comment peut-on accepter
que des mecs qui shootent dans un ballon puissent se prévaloir, se flatter de
« gagner » des revenus tellement exorbitants qu’ils ne savent même
plus ce qu’est la valeur de l’argent !!.
Dans notre société, nous acceptons que des sportifs de
« hauts niveaux » (c’est quoi, le haut niveau ?) perçoivent des
salaires qui sont largement au-dessus des « têtes de gondole » dans
le monde des affaires, nous avons la tête à l’envers.
La valeur de l’argent, voilà bien, le nœud d’un problème lié
essentiellement au système capitaliste.
Alors, dans la foulée, si, je peux m’exprimer ainsi, dans le
monde politique, celles et ceux qui se retrouvent un jour « élus »
par le peuple, ils bénéficient d’une autorité, d’une confiance pour exercer
leurs mandats, servir les citoyens en percevant une rémunération pour services
rendus, rien de plus naturel en soi et c’est là que le bât blesse.
Où est le problème ? Le problème, une fois de plus,
c’est le système « capitaliste » et pourquoi ?
Il n’est pas question de dédouaner, celles et ceux qui ont
profité du système, mais de savoir pourquoi, ce système les a déshumanisés au
point de perdre leurs repaires de solidarités envers celles et ceux qui les
avaient placés là où ils étaient. Ils ont perdu petit à petit les valeurs qui
étaient les leurs.
Je vise d’abord les « socialistes » mais, les
autres, tous les autres, qu’ils soient des « libéraux axés sur une
idéologie qui ne tient plus la route et l’ensemble de la « classe
politique », tous des « pourris », mais non, pas tous des pourris,
j’ai envie de dire presque tous .
Ce qui se passe est le symptôme d’une crise beaucoup plus
grave que de petites affaires éthiques. Il s’agit d’un mal-être de toutes les
démocraties occidentales.
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