Le G8 et le sommet de l’OTAN ont successivement tenu leurs
assisses, aux Etats-Unis, sous haute protection de la police qui n’a pas mis
des gants…
Les 8 Etats les plus influents ont une fois de plus décidé
pour le reste du monde.
Idem pour l’OTAN (Organisation Terroriste de l’Atlantique
Nord ?) Il y a bien eu des divergences, mais la loi du plus fort a
évidemment été respectée, à quelques détails près. François Hollande a tenu le
même discours que pendant sa campagne électorale, il veut rapatrier la majeure
partie des troupes françaises d’Afghanistan avant la fin de l’année …tout en
restant engagé « d’une façon différente » dans l’opération de l’OTAN.
Il ne faut pourtant pas être grand clerc pour comprendre que
le combat est perdu d’avance, comme les Etats-Unis au Vietnam naguère l’OTAN
finira par quitter l’Afghanistan « la
queue entre les jambes », ce qui devrait d’ailleurs arriver à tous ceux
qui se mêlent de ce qui ne les regarde pas !
Pendant ce temps, en Europe, la Grèce est toujours montrée
du doigt, surtout par l’Allemagne qui joue au chef alors que ce pays ferait
bien de ne pas oublier qu’il a été responsable de deux guerres mondiales, les
plus meurtrières. Pour des intérêts financiers, comme toujours, les autres pays
ont permis à l’Allemagne de redresser la tête avec arrogance. Après avoir
détruit ce pays, les Etats-Unis lui ont apporté une aide gigantesque, ils en
avaient besoin pour éviter un soi-disant « péril rouge » qui surtout
ne leur aurait pas permis de vendre leur camelote en Europe ! Dès
la victoire des alliés, ils ont d’ailleurs pris à leur service les meilleurs
espions nazis pour les envoyer en URSS ou encore « adopté » Von
Braun, l’homme à la base des V2 qui ont fait tant de morts et de dégâts, chez
nous notamment. En Amérique il a développé les principaux missiles balistiques de l’armée américaine et ensuite
lors de la course à l’espace il devint
un des principaux responsables de la NASA.
Pour en revenir à la Grèce, les prochaines élections seront
déterminantes quant à son avenir. Va-t-elle dire « non » à l’euro ?
Cela pourrait servir d’exemple à d’autres Etats qui ne sont guère en meilleure
position qu’elle. Bien sûr, les « petits » n’ont rien à dire,
pourtant si l’on écoute les conversations chez nous comme dans d’autres pays,
ceux qui « casquent » le plus rendent « l’euro » autant
responsable que les banksters de l’austérité
grandissante et probablement bientôt de la misère qui va s’abattre sur nous. Ce
qui ne semble guère troublé Angela, ou plutôt Satanas…
Avec ou sans Nicolas le petit, Angela Satanas Merkel veut
mener l’Europe à la teutonne.
Avec l’aimable autorisation de son auteur, mon ami et
camarade Jean Honhon.
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