Aujourd’hui je repense à une situation vécue, l’automne nous offre des couleurs chaudes lorsque la végétation est encore là, mais plus tard dans la saison, les arbres dépouillés et la grisaille d’une journée sans lumière, vous donne le spleen et pas beaucoup de cœur à l’ouvrage..alors je fais un petit tour sur mon « pc » avant de me prendre en main et secouer ma vieille carcasse je vous confie « mes impressions et mon humeur du jour ».
Alors voila, il y a peu, j’ai commencé la rédaction d’une biographie, la mienne et dans la foulée, j’ai voulu savoir ce qu’une personne pourrait en penser en ne me connaissant pas vraiment.
Cette personne n’est manifestement pas restée indifférente au texte proposé et dès le surlendemain, elle m’écrivait cette lettre ;
« Il m’arrive très rarement de prendre la plume et c’est un sentiment exclusivement féminin qui me dicte les lignes qui suivent.
Hier,j’ai été bouleversée par un homme d’apparence stoïque, « caparaçonné » dans ses souffrances. J’ai découvert l’ampleur de ses déchirements et je n’ai pas pu m’empêcher de penser qu’il avait eu raison de rédiger son autobiographie et la tristesse qui ressortait du contenu, me laissait très troublée, comprendre qu’un homme peut pleurer comme une « Madeleine » et qu’il éprouve le besoin de communiquer ses sentiments, ses pensées intimes avec beaucoup de pudeur, moi qui suis une quinquagénaire depuis quelques années déjà !!, moi qui est eu ma part de souffrances, moi qui étais aussi renfermée dans une carapace parce que la vie n’est pas toujours « un long fleuve tranquille »,j’ai fondu devant cette confession « masculine ». Mais je me réjouis quand même de constater qu’après tout, hommes et femmes ne sont pas si différents. »
J’ai à mon tour été très ému, très touché par la réaction de mon amie et j’en ai conclu que j’avais bien fait de rédiger mon essai autobiographique et surtout d’être moi-même. Souvent on m’a traité de macho. Cette attitude, ce système social fondé sur l’idée selon laquelle l’homme serait supérieur à la femme ne m’a jamais effleuré l’esprit, j’ai trop de respect pour le sexe opposé.
Voila, c’est mon humeur du jour, de cette journée d’automne.En conclusion, faites l’amour, pas la guerre, la vie sera plus belle….
Alors voila, il y a peu, j’ai commencé la rédaction d’une biographie, la mienne et dans la foulée, j’ai voulu savoir ce qu’une personne pourrait en penser en ne me connaissant pas vraiment.
Cette personne n’est manifestement pas restée indifférente au texte proposé et dès le surlendemain, elle m’écrivait cette lettre ;
« Il m’arrive très rarement de prendre la plume et c’est un sentiment exclusivement féminin qui me dicte les lignes qui suivent.
Hier,j’ai été bouleversée par un homme d’apparence stoïque, « caparaçonné » dans ses souffrances. J’ai découvert l’ampleur de ses déchirements et je n’ai pas pu m’empêcher de penser qu’il avait eu raison de rédiger son autobiographie et la tristesse qui ressortait du contenu, me laissait très troublée, comprendre qu’un homme peut pleurer comme une « Madeleine » et qu’il éprouve le besoin de communiquer ses sentiments, ses pensées intimes avec beaucoup de pudeur, moi qui suis une quinquagénaire depuis quelques années déjà !!, moi qui est eu ma part de souffrances, moi qui étais aussi renfermée dans une carapace parce que la vie n’est pas toujours « un long fleuve tranquille »,j’ai fondu devant cette confession « masculine ». Mais je me réjouis quand même de constater qu’après tout, hommes et femmes ne sont pas si différents. »
J’ai à mon tour été très ému, très touché par la réaction de mon amie et j’en ai conclu que j’avais bien fait de rédiger mon essai autobiographique et surtout d’être moi-même. Souvent on m’a traité de macho. Cette attitude, ce système social fondé sur l’idée selon laquelle l’homme serait supérieur à la femme ne m’a jamais effleuré l’esprit, j’ai trop de respect pour le sexe opposé.
Voila, c’est mon humeur du jour, de cette journée d’automne.En conclusion, faites l’amour, pas la guerre, la vie sera plus belle….
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